Faire parrainer un jeune juif mort en déportation par un jeune écolier est une idée généreuse pour pérenniser le devoir de mémoire. Est-elle la meilleure ?
La controverse s’en mêle et on verra la suite.
Dans le même ordre d’idée on pourrait penser à tous les jeunes résistants qui sont morts en déportation ou sur le territoire et qui méritent le droit d’entrer dans la mémoire collective. Ils ont été des martyrs agissants pour l’honneur de la France.
Ceux qui sont encore parmi nous méritent au moins la considération, et il faut veiller à ce qu’ un esprit collabo persistant ne les retranche de la vie publique et de la mémoire actuelle par l’action d’un pouvoir malsain.