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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 18:42

 

 Je viens de recevoir, de la part des Allocations Familiales, le même courrier à quatre reprises successives Le coût de chaque envoi, avec le timbre, l'enveloppe et la main d'œuvre peut être estimé à deux euros , soit 6 euros pour les trois courriers supplémentaires.

Ces six euros dépensés inutilement auraient été mieux à leur place dans le porte monnaie de la mère d'une famille nécessiteuse.

Toutes les administrations ont, dans ces temps difficiles, le devoir de faire en sorte de traquer les bugs qui créent des dépenses inutiles et, plus généralement de faire des économies sur tout.

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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 11:22

 

(Humour)

Cet article est à l'intention de mes lecteurs Malesherbois

Je reviens sur les propos un tantinet menaçants de Monsieur le Maire au cours de l'entretien de trottoir Numéro deux.

Après m'avoir dit tout le dégoût qu'il éprouvait contre mes courriers et les articles que je publiais sur mon Blog, il a ajouté qu'il les parcourait d'un œil distrait mais il ne les lisait pas. Ce n'est donc pas étonnant qu'il réponde à côté des questions.

Je l'engage amicalement à étudier les affaires au fond et à ne pas prendre une demande d'arbitrage pour une attaque personnelle, d'entendre ses interlocuteurs dans la sérénité d'un bureau et pas sur un trottoir, et de ne pas prendre parti à priori quand il s'agit d'arbitrer.

Il est le maire de tous les Malesherbois, et pas seulement en faveur de son groupe politique.

Il m'a dit en outre qu'il  préparait l'inscription à l'ordre du jour du Conseil municipal (dans lequel son groupe est majoritaire) d'un vote contre moi, simple citoyen.

Cela me fait beaucoup d'honneur et je l'attends avec impatience et délectation.

Pour l'aider dans cette noble entreprise, je vais lui adresser un nouveau courrier amical, lui qui est un ami de trente ans.

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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 20:05

                                                        A contre courant

Mes analyses ne sont pas faites pour flatter dans le sens du poil car je ne recherche pas la popularité mais l'efficacité. Je présente mes regrets, mais il m'est impossible par tempérament de changer de ligne.

Quand deux strates sont aussi mêlés, aussi en osmose que le sont la ville de Malesherbes et la CCM, le planning et l'organigramme doivent être communs et l'harmonisation confiée à l'une ou à l'autre des deux partenaires.

Des services complets et largement fournis en personnel sont présents dans les ateliers de la ville, provisionnés dans le budget et la charge de travail est seulement de l'ordre de 40%.

Or la CCM crée son service technique indépendant, sans avoir les ressources et qui sera financé par un impôt nouveau ou par une augmentation des impôts existants. Ce qui ne l'empêche pas de passer des marchés avec une entreprise, parait-il, pour des travaux de peinture alors que les ouvriers de la ville sont peu approvisionnés en travail.

Nos édiles semblent ignorer que nous traversons la crise du siècle, qui exige une gestion drastique des finances publiques et que les nouveaux pauvres sont de plus en plus pauvres et que pour eux une augmentation des impôts est une catastrophe.

Les administrations territoriales ont l'obligation morale de faire des économies de gestion. La première est de partager l'emploi en commun des services existants et de diminuer les coûts de l'ensemble des services administratifs.

Il faut supprimer les doublons nouvellement créés, ne plus embaucher, et contrôler les dépenses euro par euro pour ne pas faire de la gestion à contre courant, et pressurer les contribuables pauvres qui souffrent et même ceux qui sont moins pauvres mais qui sont excédés par des dépenses inconsidérées.

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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 13:00

 

Dimanche, 8 Février, 11heure30.

Je sors de chez moi pour aller, comme d'habitude, boire mon café chez Miloud.

J'aperçois la silhouette de Monsieur le Maire qui fait un détour et traverse la rue du Capitaine Lelièvre pour venir à ma rencontre.

Je le salue et lui serre amicalement la main comme d'habitude et lui demande de ses nouvelles.

Et je reçois une volée de bois vert: mes courriers l'énervent, il les parcourt mais sans les lire, il n'y a pas de raisons pour qu'il me reçoive parce qu'il n'a rien à me dire, il n'a pas à s'occuper de mes demandes, et il va organiser contre moi un vote du conseil municipal.

Ce n'était pas un simple entretien de trottoir mais une véritable agression verbale qui démontre qu'il avait bien, contrairement à ses affirmations quelque chose à me dire.

Il m'a confirmé qu'il n'avait que deux problèmes à Malesherbes: Monsieur Roisneau et Monsieur Fréquelin.

C'est me faire beaucoup d'honneur et me donner une importance que je ne croyais pas avoir et cela démontre qu'à Malesherbes tout va bien.

Mais que Monsieur le Maire se rassure, je lui conserve toute mon amicale considération.  

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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 13:41

                                           

 

La solution est de supprimer les taxes sur les salaires pour augmenter le pouvoir d'achat et accélérer la reprise. La charge fiscale serait reportée sur le chiffre d'affaires des entreprises et l'impact serait allégé.

 

Je défends cette réforme depuis trois ans et j'ai rédigé sur ce sujet de nombreux articles.

J'ai envoyé une étude au Conseil économique et social et aux services gouvernementaux.

Le pouvoir d'achat des salariés serait immédiatement augmenté de 15% et on comprend  que la reprise serait efficacement relancée sans qu'il soit besoin d'une longue analyse.

Relisez mes articles sur le sujet.

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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 13:35

                                Pom, Pom, Pom,  Pom…

                                 Pom, Pom, Pom, Pom…

                                  Ici Malesherbes-Union

                  Le dernier des résistants parle aux Malesherbois

 

J'ai consacré 7 ans de ma vie pour la libération de la France, trois ans dans la clandestinité, un an dans les maquis, trois ans dans l'armée Rhin et Danube du Général Delattre de Tassigny.

Je l'ai fait avec enthousiasme avec la seule ambition de servir ma Patrie et d'aider à libérer mes concitoyens, poussé par mon tempérament idéaliste.

Les deux héros littéraires qui ont hanté mon imagination sont Le Cid et Cyrano de Bergerac. Le surnom que j'ai choisi pour des raisons de sécurité, dans la Résistance, est Robin Desbois.

On ne peut pas faire mieux dans le romantisme…

J'ai poursuivi ma vie avec cet idéal naïf de jeune homme plus porté vers la poésie que par le désir de lucre.

Les réalités de la vie sont tout autres et j'ai du laisser réagir mon tempérament de battant pour lutter d'abord contre l'ennemi occupant, puis contre les collabos et plus tard contre la sottise, les malfaisants perfides, cupides, ambitieux, cyniques, intrigants qu'on rencontre partout mais surtout dans le personnel politique.

Alors le jeune homme romantique, Robin Desbois, a évolué et a décidé de ne jamais plier le genou devant eux, tout en sachant que c'est un combat sans espoir de victoire: Ils sont trop nombreux, trop complices, trop bien camouflés.

Ils sont la force du mal.

C'est peut-être un combat sans espoir de victoire mais cela soulage.

 

Cyrano

Frappé par un héros, tomber la pointe au cœur!

Oui, je disais cela!.. Le destin est railleur!

Et voilà que je suis tué dans une embûche,

Par derrière, par un laquais, d'un coup de bûche!

C'est très bien. J'aurai tout manqué même ma mort

 

Que dites vous? C'est inutile?... Je le sais!

Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès!

Non! Non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile!

Qu'est-ce que tous ceux là? Vous êtes mille?

Ah! Je vous reconnais, tous mes vieux ennemis!

Le Mensonge? Tiens, tiens! ha! ha! Les compromis, (il frappe de son épée)

Les Préjugés, les Lâchetés!...Que je pactise?

Jamais, jamais! Ah! Te revoilà la Sottise!

Je sais bien qu'à la fin vous me mettrez à bas;

N'importe: je me bats! Je me bats! Je me bats!

 

 

 

 

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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 16:41

(Nota: ce texte est à l'intention de mes lecteurs malesherbois)

 

Si vous avez lu mes articles sur les chroniques de la SAGA malesherboise, je ne serais pas  étonné que vous ayez été surpris et que vous pensiez que tout cela est abracadabrantesque? Ça l'est, mais c'est vrai bien qu'invraisemblable!

 

Mais nous allons avancer dans la compréhension de tout cela.

J'en fait le récit public pour plusieurs raisons: C'est le seul moyen de m'en sortir, c'est le seul moyen de stigmatiser les agissements de certains personnages, et c'est un cas d'école dont la connaissance peut aider ceux qui pourraient y être confrontés.

De tous les avatars qui me sont arrivés, il était pratiquement impossible d'en retrouver l'origine et le cheminement. Mais j'ai réussi!

 

Un exemple exemplaire d'avatar parmi beaucoup d'autres:

J'ai été l'objet d'une très grave diffamation (totalement erronée et inventée) de la part d'un nommé A.M. protégé selon la rumeur publique par un homme influent.

C'est ce même personnage (A.M.) qui a été l'auteur et le propagateur (au bénéfice de qui?) d'une série de poèmes qui diffamaient Monsieur Pataud qui s'était présenté aux élections municipales et cantonales, ces poèmes ont causé sa perte. Il ne s'en est jamais remis.

J'ai déposé une plainte en diffamation dans les formes juridiquement régulières et j'ai effectué le dépôt légal d'une somme importante. Ma plainte a été légalement enregistrée. Il m'a été rapporté par le greffe que cette plainte a été confiée à un Juge d'instruction muté et c'est pourquoi le procès n'a jamais eu lieu. Il s'agit d'un fait vérifiable et pas le produit de mon imagination. Si je prends cet exemple c'est parce qu'il illustre bien tout l'ensemble.

J'ai pu remonter la filière, et au bout du fil il y a un personnage qui est un haut dignitaire d'un organisme laïque et confidentiel.

Grâce à son appartenance et aux relations qu'elle lui apporte il peut actionner dans des domaines nombreux et variés. Curieusement, il coopère parfois avec un personnage influent dans une autre filière celle là confessionnelle mais tout aussi confidentielle.

Je ne pensais pas que ma petite personnalité mérite un tel déploiement de forces obscures.

Je gêne qui? Pourquoi? Comment? Sur quel terrain? Et pourquoi m'attaquer dans les activités de la vie civile?

J'ai écrit dans un autre article qui explique que lorsque j'étais jeune résistant dans les années 40 et que j'étais obligé de côtoyer des milieux collabos, j'éprouvais un sentiment de gêne et d'insécurité.

J'éprouve ce même sentiment au contact de certains milieux.

Un procureur a tenté de s'opposer à ces pratiques infâmes. Avec quel résultat? Il a été muté.

Alors, comme a dit Béart: Puisque je dis la vérité je dois être exécuté…J'attends.

 

 

 

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 20:00

                                    La dramaturgie des points               

 

Notre société qu'on dit républicaine, démocratique et moderne, a rendu indispensables les moyens de transports de tous ordres: Bateaux, avions, trains, camions, automobiles, motos, vélos etc.

La moitié des produits que nous utilisons ou que consommons ont parcouru des milliers de kilomètres depuis la Chine ou l'Amérique du Sud ou d'ailleurs et l'autre moitié des produits a parcouru des centaines de kilomètres sur le territoire national par les moyens appropriés.

L'industrie des transports est la plus importante au monde.

Se déplacer est la première des nécessités pour le citoyen ou la citoyenne, pour aller à son travail, pour visiter ses clients, pour aller se faire soigner, pour conduire les enfants à l'école, pour faire ses achats au super marché, tout simplement pour vivre normalement dans notre société comme elle est organisée.

Supprimer le droit de circuler est une pénalité comparable à la prison électronique.

Or,  il ne s'agit pas d'un crime ou d'un délit mais seulement d'une contravention pour une infraction plus ou moins importante.

La suppression du permis de conduire est donc un acte grave qui ne peut être apprécié que par un juge qui aura la connaissance totale de la situation et des circonstances et qui pourra décider si une simple infraction aux règles du stationnement doit entraîner le bouleversement de la vie d'un individu pour plusieurs années dans sa mobilité, dans ses activités, sa liberté et même ses loisirs indispensables en raison du stress social.

C'est alors qu'on comprend que la séparation des pouvoirs est une condition de l'équité.

Un gendarme qui constate une infraction de stationnement décide lui-même du degré de la faute. Il a le choix entre quatre niveaux. Le quatrième niveau entraîne la suppression de trois points sur le permis. S'il décide qu'il s'agit du niveau 4 et que le contrevenant n'a plus que deux points le permis est supprimé. Il décide lui-même de l'importance de la peine sans connaître le contexte et les conséquences de sa décision et sans vouloir en tenir compte. Ce n'est pas son rôle.

C'est le rôle du juge.

Mais pour obtenir un jugement il faut en faire la demande par l'intermédiaire de la hiérarchie de la gendarmerie qui dans un réflexe immédiat rejette généralement la demande.

Ces trois points supprimés, qui entraînent la suppression du permis dans le cas cité, ne pourraient- ils pas être remplacés par une amende ? C'est la question qui se pose et à laquelle seul un juge peut répondre.

Que des points soient retirés au conducteur pour la conduite dangereuse d'un véhicule roulant se comprend, mais que l'on retire des points pour un véhicule immobile se comprend moins. La logique est la mise du véhicule en fourrière et le paiement d'une amende pour le récupérer.

Il n'est pas raisonnable qu'un agent de répression soit élevé au rang de juge. En effet, il n'a pas un éclairage suffisant pour juger de la peine à appliquer. Il lui est impossible d'être équitable sans avoir la connaissance des conséquences de sa décision dans le contexte de la vie sociale.

Il est indispensable que le retrait des derniers points soit apprécié obligatoirement par un juge avec une certaine latitude d'application.

 

 

 

 

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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 19:00

 

 Qu'est-ce que cette crise ?

C'est un ralentissement des échanges par l'assèchement des moyens financiers en circulation.

 

Pourquoi ce ralentissement ?

Parce que les moyens de financement se sont artificiellement asséchés.

 

Pourquoi ?

Parce que les financiers ont créé des bulles spéculatives qui se sont dégonflées parce qu'elles étaient fondées sur des valeurs sans objet qui ont été démasquées.

 

Les fondamentaux économiques sont-ils en cause ?

Non parce que les besoins existent toujours (et ils sont énormes) et les moyens de production ont pour le moment conservé leur intégrité.

 

Alors pourquoi cela ne tourne plus ?

Parce que les moyens financiers pour satisfaire les besoins ont en partie fondu, ou sont réservés dans des crédits hors circuit et que d'autre part la confiance a disparu.

 

Qui est responsable ?

En premier lieu les financiers trop avides de profits rapides et sans cause qui se sont lancés dans des spéculations hasardeuses basées sur des produits douteux et en second lieu l'état qui dépense trop pour son propre fonctionnement, ponctionnant ainsi des masses financières qui échappent à l'économie productive et de consommation.

 

Comment en sortir ?

- Par une surveillance drastique des opérations financières spéculatives qui doivent être interdites aux banques classiques qui recueillent l'argent du peuple.

- Par une réduction de 20% des dépenses de fonctionnement de l'état, pour être réinjectée dans l'économie productive de richesses.

- Par la détaxation de la masse salariale.

- Par l'accroissement des exportations.

 

Quel délai pour en sortir ?

Au mieux  entre un et deux ans mais peut-être cinq si les bonnes mesures ne sont pas appliquées, et si ce bouleversement financier et économique n'entraîne ou n'aggrave pas des conflits.

 

Que doivent faire les français ?

Ne pas changer leurs habitudes de vie et d'achats et s'ils ont des économies à défendre les placer dans la pierre.

 P.S.Il est recommandé de donner la préférence aux produits français. 

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 19:30

          

                                  
De 1940 à 1945 la France a été occupée par l'armée allemande qui était par ailleurs engagée dans une guerre totale.

Tous les allemands valides étant mobilisés, Hitler a décidé de faire tourner les usines allemandes avec de la main d'œuvre réquisitionnée dans les pays occupés.

Les collaborateurs de Vichy, obéissant aux ordres de l'armée allemande ont institué le Service du Travail obligatoire ( S.T.O.). Il consistait à réquisitionner les ouvriers français, les étudiants et généralement tous les hommes de plus de vingt ans pour les envoyer travailler dans les usines allemandes. C'étaient des déportés du travail reconnus comme tel.

Ils étaient envoyés par convois, étaient assignés à résidence, mais bénéficiaient d'une semi liberté et d'un pécule. La plupart des jeunes hommes ont déféré à ces réquisitions parce que ceux qui s'abstenaient, étaient appelés réfractaires, étaient recherchés par la gendarmerie, puis déférés à la police allemande, subissaient quelques sévices, puis étaient expédiés, par la force et sans aucun ménagement dans des convois cadenassés à  destination de l'Allemagne où le sort qui leur était réservé était plus dur.

La minorité qu'on appelait les réfractaires n'ont donc pas déféré à la convocation et se sont cachés où ils pouvaient, généralement dans la campagne, et dans des fermes. A la fin de la guerre, il leur a été délivré par la Préfecture une carte certifiant leur qualité.

C'était le premier acte de résistance reconnu.

D'autres se sont confectionnés des faux papiers et ont continué de circuler dans la clandestinité mais sans pouvoir accéder à un emploi donc sans moyens d'existence. Ils étaient néanmoins aidés par des éléments de la population non collaborateurs. Et ils se sont armés.

C'était le deuxième acte de résistance reconnu.

Les recherches de la police de Vichy, de la milice et de la Gestapo devenant plus efficaces, plus dangereuses, les exécutions sommaires plus nombreuses, les combats armés nécessaires, les maquis se sont constitués.

C'était le troisième niveau de la résistance.

Enfin, le parcours clandestin du résistant s'achevait généralement par l'engagement dans l'armée du Général Delattre de Tassigny et l'offensive en direction des Vosges, de Belfort, de l'Alsace, la traversée du Rhin et l'occupation de l'Allemagne.

Pour certains ce périple dura six années de risques d'arrestations, de tortures ou d'exécution sommaire, de vie clandestine, de risques dans les combats ouverts, de souffrances dans le froid de l'hiver au milieu des bois et d'obsession d'insécurité permanente.

Mes compagnons, vous, les résistants, les oubliés, soyez fiers de vos combats et de votre abnégation qui a préservé l'honneur de la France.  

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  • : Ce blog a été créé par un résistant authentique qui réfléchit sur les problèmes actuels et travaille pour améliorer la gestion locale et faire avancer les idées sur les questions économiques générales.
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