Quand les Musulmans inviteront les Chrétiens aux agapes de fin du Ramadan,

Quand les Chrétiens inviteront les Musulmans à l'occasion du Réveillon,

La civilisation aura fait un pas de géant.

Sujet de société dans une société de droit : L'union homosexuelle

Cela ne répond pas à mon idéal personnel, mais dans une société de droit, pétri par la tolérance voltairienne, je ne suis pas dérangé par le fait que deux êtres du même sexe désirent s'associer, s'unir et bâtir une vie en commun. C'est devenu une réalité sociale avant d'être entré dans le droit. Mais il s'agit d'une contradiction avec les us et coutumes dans une civilisation millénaire qui est la nôtre. C'est donc une révolution sociétale et comme dans toutes les révolutions la violence n'est pas loin. Alors comment obtenir l'exercice de la liberté de s'associer légalement dans un climat apaisé?

Tout d'abord prendre conscience que le vocable "mariage" comporte des connotations particulières, il représente non seulement une association, une union avec des droits et des devoirs particuliers  mais il a pris un caractère sacré dans le réel et dans l'imaginaire, souvent souligné par une consécration religieuse. Sa mission est de donner la vie et de perpétuer dans l'ordre naturel les générations. Dans la conscience collective c'est quelque chose d'unique, de particulier et de sacré. Il apparaît irremplaçable parce que consacré.

Alors on a créé le Pacs. Mais manifestement il ne donne pas satisfaction.

Les aspirations, les besoins, les droits désirés sont différents et le vocable mariage correspond à une organisation de la vie inscrite dans la loi, dans l'imaginaire et dans des textes sacrés.

La difficulté est que le même vocable ne peut pas et ne doit pas s'appliquer à deux choses de nature différente en dépit et même surtout de quelques similitudes.

Alors, appelons l'association homosexuelle "Union" avec son statut particulier en raison du même sexe partagé qui crée un style de vie différent et des droits adaptés à des conditions différentes mais à quantité égale.

Cette proposition est une logique qui donne des droits égaux à des conditions égales mais différentes. Chacun doit pouvoir vivre sereinement sa liberté qui n'est limitée que par la liberté des autres et les règles promulguées de la société dans laquelle on vit.

Définitions du dictionnaire

Concussion: Malversation commise dans l'exercice d'une fonction publique.

Abus: Excès préjudiciable à la collectivité, à la société, injustice causée par le mauvais usage qui en est fait, d'un droit, d'un pouvoir.

Abus de pouvoir, d'autorité commis par une personne, en particulier par un fonctionnaire qui outrepasse les limites assignées à l'exercice de son pouvoir (de son autorité) par les dispositions légales ou règlementaires.

Prévariquer: (Entrer en collusion avec la partie adverse) Rare.

Manquer par intérêt ou par mauvaise foi aux devoirs de sa charge, de son mandat.

Au début il y a l'habileté qui est une qualité première respectable qui permet avec un esprit inventif ou une précision dans le geste d'accomplir des actions qui dépassent l'ordinaire pour obtenir un résultat bénéfique.

Ensuite s'introduit l'astuce qui colore l'habileté d'un soupçon de ruse. Alors la ruse en y ajoutant l'habileté devient la diplomatie quand on y ajoute la présentation, la recherche juridique et la séduction pour atteindre la finalité recherchée.

Puis intervient l'abandon des scrupules et on atteint ce qu'en politique ils nomment "la Magouille". Elle s'est affinée, modernisée, armée en droit, elle s'est répandue dans les petits et grands pouvoirs et finalement généralisée. Elle est parallèle au droit et finit par devenir le parangon de la droiture juridique. Avec l'apparence de la droiture on peut apparaître comme respectable et on est respecté et la magouille apparaît comme étant le droit et malheur à celui qui prétendrait le contraire. Certains débutants, ou des petits esprits, peuvent avoir des scrupules mais entraînés dans leur courant habituel ils suivent avec leurs scrupules ou bien sans comprendre, du moins c'est ce qu'ils disent, et signent avec des réticences mais ils signent.

C'est pour cela et comme cela, que l'Etat, pas la France, seulement l'Etat  et les politiques petits ou grands, ont entraîné le pays au bord du gouffre. Encore quelques pas de travers et on tombe dedans. Dans quoi ?

Il y a des Français qui sont Français malgré eux!

On n'est pas Français parce que des politiciens ont institué par calcul une politique impérative de peuplement en décidant qu'un bébé qui est né sur notre sol de parents étrangers, sans bien entendu qu'il ait pu choisir cette option de Patrie sur un sol et un pays qui ne sont pas ceux de ses parents, est Français.

C'est le détournement de sa liberté d'adulte éduqué qu'il deviendra!

Sans qu'il puisse approuver cette option qui lui est imposée dans son inconscience!

Ou est le respect de sa personne, de son libre arbitre?

Combien d'entre eux, à 18 ans, souffrent d'être déracinés, et de cette atteinte à leur conscience non encore formée?

Qui comprendra son désarroi, à 18 ans, quand, au fond de lui-même, il se sent dépaysé et mal à l'aise dans une civilisation et des coutumes qui ne sont pas celles dans lesquelles ses parents l'ont élevé?

Comment lui reprocher son comportement révolté?

Un état n'a pas le droit moral et tout simplement humain de s'approprier une personne humaine qui au plus profond de sa nature ne le désire pas et se révolte?

Il en fait un inadapté à vie, uniquement par un calcul de peuplement quantitatif!

Il engage la vie d'un être humain sur un chemin opposé à sa volonté et à sa nature!

Il en fait pour sa vie entière un déraciné et un inadapté!

Je propose de modifier la loi pour que ces enfants devenus adultes aient la possibilité de choisir leur nationalité à l'âge de 18 ans. La nationalité leur sera donnée à la suite de leur demande. Il y aura aussi des conditions: Qu'ils maîtrisent la langue française, qu'ils aient connaissance des lois fondamentales et qu'ils n'aient jamais été condamnés.

Et s'ils sont condamnés ultérieurement, ils perdront cette nationalité.

C'est ainsi que la nation française restera une et indivisible, se gardera des subversions, et que la République respectera le libre arbitre de la personne humaine, c'est à dire la liberté!

(Ce texte est dédié à Benoît)