Les Allemands effacent peu à peu l'horreur des années trente et quarante. Grâce à leur application et à leur volonté ils ont reconstruit une nation sérieuse, industrieuse, appliquée qui peu à peu a progressé non seulement en sagesse, en humilité mais aussi en économie. Ils prennent une revanche pacifique fondée sur le sérieux et la discipline de leur peuple.
Leur économie est la première en europe. C'est là qu'on reconnaît leur discipline et leur volonté ajoutée à leur puissance intellectuelle apparente dans leur philosophie. Ce sont les facteurs qui leur permettent après avoir perdu la guerre de gagner dans la paix.
Leur travail assidu de fourmis silencieuses les a porté au leadership de l'Europe qu'ils exercent avec une modestie en retrait qui leur assure la pérennité.
Pendant ce temps la France, cigale de la fable, s'est enfoncée dans la jouissance, les illusions, les rodomontades, l'argent facile, la dolce vita, la politique gribouille et la décadence. A cela s'ajoute la vénalité et l'insouciance de la classe dirigeante. Il ne faut donc pas s'étonner de la décadence masquée pendant quelques temps encore par l'illusion et l'apparence de la puissance que nous confère les pages glorieuses de notre histoire.
C'est dans la paix que s'accomplit le rêve d'Hitler d'une grande Europe présidée par l'Allemagne.
C'est dans l'insouciance que se poursuit la décadence de la France!