La situation globale est plus engagée, plus générale, d'une portée géopolitique plus large que l'opinion n'en a conscience.
Les petites querelles intestines doivent être marginalisées pour un temps. La situation est trop grave pour que les politiques nationaux se chamaillent dans des chicanes domestiques.
Que le gouvernement vous plaise ou non, que le président vous plaise ou non, le devoir national est d'être unis en raison des dangers majeurs.
Toutes les forces morales et politiques doivent se mobiliser jusqu'à la pacification et l'organisation démocratique du Maghreb avec le soutien actif de la France unie pour franchir positivement cette étape historique majeure pour le monde et l'Eurafrique.
C'est mon analyse et ma conviction.